Des voix s’élèvent pour condamner le regain de violences dues à la détérioration de la situation sécuritaire à l’Est de la RDC, avec à la clé 130 civils tués en mars. D’où le départ de la MONUSCO est clamé.
La dernière voix en date, est celle du chef des travaux Jean Baptiste Kasekwa, qui attribue cette situation à l’inaction de la Mission des Nations-unies pour la stabilisation du Congo (MONUSCO).
A l’en croire, sur terrain, la force onusienne a prouvé ses limites, débouchant sur les carnages répétitifs des civils en territoire de Beni, avec un chiffre de plus 130 civils égorgés en seulement un mois.
La même situation est déplorée par un député national élu de la ville de Goma. C’était au cours d’échange mardi avec les journalistes au centre de presse de l’Union nationale de la presse du Congo (UNPC) section provinciale du Nord Kivu.
Badinews